Quel sens a-t-il considérer un peu comme tabou quand tout le monde rompt avec son interdiction ? C'est le cas de la pornographie, qui constitue une industrie multimillionnaire et puissante grâce à la consommation de millions d'utilisateurs dans le monde entier qui consacrent deux ou trois nuits à la semaine à assouvir ses impulsions sexuelles avec des yeux rouges et des mains tremblantes en face des moniteurs de ses Ordinateurs personnels.
Parler chez la troisième personne du pluriel me sonne un peu hypocrite, dès que je changerai le verbe à première du pluriel. Tu n'es pas en fait, non plus hypocrite, collège de moments pornógrafos, puisqu'une étude récente réalisée par l'Université du Montreal qui voulait différencier les habits des consommateurs de porno avec les non-consommateurs, il est tombé sur la réalité crue dont TOUS, absolument tous, le pourcentage total, la masse gigantesque d'homo sapiens sapiens masculins du monde entier, consommons une pornographie.
“Nous commençons notre investigation en cherchant des hommes dans ses vingt années qui n'ont jamais consommé la pornographie - il raconte le porfesor, Simon Louis Lajeunesse, directeur de l'étude - mais nous n'avons aucun pu trouver”. La recherche est restée il tronque après avoir vérifié cette réalité (pas si révélatrice, d'une certaine manière, puisque à la fin des comptes: connais-tu un ami qui ne consomme pas de pornographie ?).
(j'ai demeuré …)
No comments:
Post a Comment