Mon enthousiasme avant que le Sommet du Changement climatique qui a pris fin vendredi passé à Copenhague ne fût grand. Ils le savent, et en fait dans le coup de pied initial de la conférence j'ai bien ouvert mes yeux donné de l'espoir dont les nations puissantes du monde réussissaient à atteindre un accord légal rapporté à la limitation d'émissions de CO2.
Parfois j'oublie à que nous sommes humains, et que notre civilisation est gouvernée par les intérêts économiques qui filtrent politiquement tout compromis social, éthique et ambiant. La règle a recommencé à fournir un effet à Copenhague, et l'espoir de quelques enthousiastes comme j'elles sont restées réduites à des cendres.
La fin du sommet de Copenhague est arrivée terne et maltraité, avec un accord préliminaire auquel ont adhéré seulement 30 de 192 pays qu'ils ont assistés à la conférence; je décide qu'il n'implique pas d'avance, aucun compromis et un manque gigantesque de compromis de la part des nations les plus polluantes du monde.
(j'ai demeuré …)
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