Nous ne partons pas pour les basses zones de Milan, et pas non plus à aucun quartier de Chine et Latin. Nous partons pour le Mozambique, où la prostitution existe (comme partout), mais il arrive pas seulement entre des humains. Les crabes des violonistes comprennent aussi le sexe comme une valeur interchangeable, et sa logique semble à ce sujet fascinante.
Patricia Backwell de l'Australian National University publie une investigation réalisée au Mozambique, où il a réalisé quelques expériences avec crabes des violonistes, une sous-espèce de crustacés par laquelle les mâles se distinguent des femelles pour avoir l'une de ses pinces d'une taille considérablement grande pour protection, tandis que chez les femelles cette pince est absente.
Par conséquent, si un intrus vient à attaquer à un crabe un violoniste mâle, celui-ci s'assure qu'il a une arme pour lui empêcher, mais les femelles sont déshéritées et vulnérables devant des attaques possibles. Comment se défendre alors ? La réponse est basique, instinctive et animale : un sexe.
(j'ai demeuré …)
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