Le papier de l'Europe par rapport aux effets du changement climatique est, indubitablement, substantiel. Également, en étant relatifs (et un peu indulgents), il faut reconnaître que l'Union Européenne fait au moins des efforts pour le combattre, beaucoup plus que les encore trois grandes marmites d'émissions de CO2 : La Chine, les États-Unis et l'Inde.
En fait, l'Union Européenne plane de jouer les décennies suivantes de forme déterminée et dirigée vers un objectif : réduire les émissions de CO2 entre 80 % et 95 % vers le 2050, dans un processus qu'il demandera que dans dix ans les émissions sont réduites entre 20 % et 30 %.
“L'Est devrait être un clair message pour le monde”, a dit Andreas Calgren, ministre de milieu ambiante suédois, qui espère que l'on peut parvenir à un accord dans six semaines au sommet de Copenhague. Mais il y a une condition : jouer à une équipe. L'UE a mis comme condition nécessaire et suffisante pour prendre des mesures que les EU, la Chine et l'Inde s'engagent à réduire aussi ses émissions. Dans le cas contraire, il n'y a pas de traitement.
(j'ai demeuré …)
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