Isoler le CO2 en pensant comme notre sang

Notre organisme a servi d'une inspiration à quelques peintres et à sculpteurs. Cependant : te serais-tu imaginé qu'il pourrait inspirer à la science pour emmagasiner le CO2 qui abîme notre atmosphère ?

C'est ce rayon d'éclairage qui est tombé sur les ingénieurs de Carbozyme, une compagnie qui a conçu une méthode d'isolement du dioxyde du carbone que les usines produisent inspiré dans le mécanisme basique qui utilise notre corps pour cela.

Dans notre organisme il opère un enzyme appelée anhidrasa carbonique. Celle-ci transforme constamment le dioxyde du carbone comme de la partie de notre processus respiratoire, et le fait en transformant au dioxyde de carbone dans un bicarbonate. Dès que celui-ci arrive aux poumons, les enzymes recommencent à le transformer en dioxyde de carbone pour être exhalé.

(j'ai demeuré …)

Le premier vol formé l'équipage dans un avion solaire

Les avions sont l'une des menaces les plus importantes pour la dynamique du processus d'effet de serre, puisque ses émissions de CO2 sont entre les plus massives de toute la planète. Par cela, les avions qui fonctionnent à une énergie solaire constituent un chemin obligatoire à suivre de la part de l'industrie, et peu à peu des pas importants se rendent à ce sujet.

Dans cette occasion le pas consiste en oficialización du premier vol formé l'équipage à une énergie solaire. Le même aura pour protagoniste à un avion à une énergie solaire développé par l'école Polytechnique Fédérale de Lausanne, en Suisse qui développé dès 2003 est arrivé l'heure de le faire marcher.

L'avion est capable de porter une seule une personne, mais il a une envergure d'environ 200 pieds. Malgré sa taille, cependant, l'avion pèse seulement 3572 livres.

(j'ai demeuré …)

L'univers est plus transparent que nous croyions

Depuis notre position dans l'univers nous avons une limite visuelle définie, qui nous empêche d'atteindre les limites de l'univers avec un télescope humble. Cela génère des spéculations multiples sur ce qu'il existe au-delà de notre champ visuel, et ici les théories scientifiques ont pratiquement une voie libre puisque rien n'est vérifiable.

Cependant, il fait une paire de jours la science est tombée en compte dont notre champ visuel est plus vaste que nous croyions, quelque chose qui indique que l'univers est plus transparent que nous avions pensé.

En 2006 le télescope HESS en Namibie jetait un indice de cela avec la découverte de blazars situés à plus de 2 milliards d'années-lumière. Cela a été déconcertant, puisque la lumière qui voyage à l'univers le fait jusqu'à une mesure déterminée. Cette limite est connue, et à ce qu'on suppose nous ne pourrions pas observer blazars situés à plus d'un milliard d'années-lumière. Cependant, en 2007 le télescope MAGIC de La Palma a atteint plus de 5 milliards d'années-lumière.

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Pourquoi vivons-nous plus que les singes ?

Notre espérance de vie est relativement longue dans le royaume animal. Nous ne pouvons pas nous plaindre de vivre entre soixante-dix et quatre-vingts ans; après tout nous surpassons largement l'espérance de vie de nos parents les plus voisins, les chimpanzés, qui vivent pas plus de 50 ans.

Mais pourquoi ayant 98 % de correspondance génétique réussissons-nous les êtres humains à vivre vingt ou trente ans plus qu'eux ? Apparemment, la réponse recommence à être dans les gènes selon Caleb Finch, professeur de gérontologie de l'USC Davis School, qui publie dans PNAS quelques conclusions intéressantes.

Finch attribue notre longue espérance de vie à l'évolution de nos gènes, qui nous a permis de nous adapter à une diète périlleuse de viandes crues infectées, en fournissant à notre organisme la capacité de répondre à des infections ou à une inflammation, à la différence de ce qu'il arrive avec les chimpanzés.

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La solitude s'éparpille comme un virus

Ainsi que la faim est une réaction organique qui a évolué jusqu'à devenir un motif de chercher de la nourriture et de rester vifs, avec la solitude le même arrive. Nous sommes êtres sociaux, et le sentiment de la tristesse que nous sentons quand nous ne sommes pas accompagnés nous pousse à créer des liens sociaux.

Cependant, la logique de la solitude ne finit pas là. Selon John Cacioppo, psychologue de l'Université de Chicago, la solitude s'éparpille comme un virus entre les personnes, et quand un individu devient un solitaire est très probable que ceux qui l'entourent se transmettent de lui et commencent à montrer des tendances solitaires.

La conclusion est extraite à partir d'une étude statistique réalisée par l'enquêteur, dans lequel a été réalisé un suivi de 5000 individus qui ont dû remplir des questionnaires toutes les deux années qui mesuraient sa dépression et solitude. De plus, la solitude des parents s'est aussi mesurée au volontaire, pour aussi analyser son réseau social.

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Le mystère du chant de la baleine bleue

Non, il ne s'agit pas du titre d'un livre de détectives pour des mineurs de douze ans. Non plus du titre d'une nouvelle bande dessinée de Tintement. C'est un problème scientifique réel, qui déconcerte les biologistes marins qui travaillent avec des baleines bleues, et qui se traduit basiquement dans un changement dans le chant de ces baleines lequel une cause convaincante ne présente pas.

Le chant des baleines a des intentions différentes, et nous comptons parmi eux la sélection reproductive ou le calcul de la distance des objets sous la mer à travers de la réception des ondes qui rebondissent sur ceux-ci. C'est l'un des sujets les plus passionnants relatifs à l'étude des baleines, mais il fait un temps vient en donnant un phénomène qu'il a déconcerté à la communauté scientifique : une descente dans la tonalité des mêmes dans les baleines bleues.

Mark McDonald, président de Whale Acoustics (une compagnie spécialisée en surveillance des sons des cétacés) pointe : “Nous n'avons pas de réponse. Nous avons uniquement des enregistrements”. C'est que la fréquence du chant des baleines bleues baisse une année après une année dès 2001 à raison des fractions d'hertz. Pourquoi ?

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TOUS les hommes nous consommons un porno

Quel sens a-t-il considérer un peu comme tabou quand tout le monde rompt avec son interdiction ? C'est le cas de la pornographie, qui constitue une industrie multimillionnaire et puissante grâce à la consommation de millions d'utilisateurs dans le monde entier qui consacrent deux ou trois nuits à la semaine à assouvir ses impulsions sexuelles avec des yeux rouges et des mains tremblantes en face des moniteurs de ses Ordinateurs personnels.

Parler chez la troisième personne du pluriel me sonne un peu hypocrite, dès que je changerai le verbe à première du pluriel. Tu n'es pas en fait, non plus hypocrite, collège de moments pornógrafos, puisqu'une étude récente réalisée par l'Université du Montreal qui voulait différencier les habits des consommateurs de porno avec les non-consommateurs, il est tombé sur la réalité crue dont TOUS, absolument tous, le pourcentage total, la masse gigantesque d'homo sapiens sapiens masculins du monde entier, consommons une pornographie.

“Nous commençons notre investigation en cherchant des hommes dans ses vingt années qui n'ont jamais consommé la pornographie - il raconte le porfesor, Simon Louis Lajeunesse, directeur de l'étude - mais nous n'avons aucun pu trouver”. La recherche est restée il tronque après avoir vérifié cette réalité (pas si révélatrice, d'une certaine manière, puisque à la fin des comptes: connais-tu un ami qui ne consomme pas de pornographie ?).

(j'ai demeuré …)